Les cendres de maman (suite)
Je me suis donc lu une histoire avant de dormir. Brrrr ! J'en frissonne encore ! D'abord de peur, parce que je suis un grand gamin et que le texte est bien tourné, ensuite parce que stylistiquement ce livre est un modèle du genre...
Encore en tête Mia, Lemon, Bartok, maman, l'affreux ramoneur, la femme au serpent, le vieil homme ("le temps")... Je le relirai avec plaisir ce soir.
Les dessins n'ont pas menti : il s'agit bien d'une histoire à la Tim Burton, les "décors" made by Lolita auraient pu être de lui, et l'histoire aussi. Ou de Caro et Jeunet : Mia par moments d'ailleurs me fait penser à Miette ( Judith Vittet, dans "la cité des enfants perdus")...
Un style franc et direct, philosophique, poétique, humoristique et tendre à la fois, une sorte de morale à la fin, qui dans le fond n'est pas une morale mais une constatation de ce que doit -devrait- être l'amour en général, l'acceptation du divorce en fond de trame. La comparaison va vous paraître exagérée, mais je place ce livre avec "le petit prince" et "l'alchimiste". Rien moins que ça...
Achetez ce livre pour vos enfants, et s'il vous plait chantez bien l'extrait de "Hey Jude", des Beatles, c'est important de tout respecter d'un aussi beau texte.
Je suis définitivement amoureux de cette fille !
A propos de papa : on me dira que je ne suis pas objectif, fan que je suis... Certes, je ne puis aller à l'encontre de cet argument, si ce n'est en vous encourageant à lire comme je l'ai fait l'ouvrage de Lolita : en vous sortant de la tête -avec un petit effort durant les 5 premières lignes, qui se chargent de vous absorber- l'auteur du livre (Lolita Séchan donc), son papa, sa maman ou même son petit chat, sa pote Marylou etc...
Pas d'argument donc autre que l'oeuvre elle-même, car c'en est une. Lisez d'abord, ouvrez vos gueules après. D'avance merci.
PS : Je suis persuadé pour ma part qu'en sortant de l'ombre les sous-vêtements de maman de dessous le lit on y trouverait les cendres...
Encore en tête Mia, Lemon, Bartok, maman, l'affreux ramoneur, la femme au serpent, le vieil homme ("le temps")... Je le relirai avec plaisir ce soir.
Les dessins n'ont pas menti : il s'agit bien d'une histoire à la Tim Burton, les "décors" made by Lolita auraient pu être de lui, et l'histoire aussi. Ou de Caro et Jeunet : Mia par moments d'ailleurs me fait penser à Miette ( Judith Vittet, dans "la cité des enfants perdus")...
Un style franc et direct, philosophique, poétique, humoristique et tendre à la fois, une sorte de morale à la fin, qui dans le fond n'est pas une morale mais une constatation de ce que doit -devrait- être l'amour en général, l'acceptation du divorce en fond de trame. La comparaison va vous paraître exagérée, mais je place ce livre avec "le petit prince" et "l'alchimiste". Rien moins que ça...
Achetez ce livre pour vos enfants, et s'il vous plait chantez bien l'extrait de "Hey Jude", des Beatles, c'est important de tout respecter d'un aussi beau texte.
Je suis définitivement amoureux de cette fille !
A propos de papa : on me dira que je ne suis pas objectif, fan que je suis... Certes, je ne puis aller à l'encontre de cet argument, si ce n'est en vous encourageant à lire comme je l'ai fait l'ouvrage de Lolita : en vous sortant de la tête -avec un petit effort durant les 5 premières lignes, qui se chargent de vous absorber- l'auteur du livre (Lolita Séchan donc), son papa, sa maman ou même son petit chat, sa pote Marylou etc...
Pas d'argument donc autre que l'oeuvre elle-même, car c'en est une. Lisez d'abord, ouvrez vos gueules après. D'avance merci.
PS : Je suis persuadé pour ma part qu'en sortant de l'ombre les sous-vêtements de maman de dessous le lit on y trouverait les cendres...