King Kong
vu en V.O. le 20 décembre 2005
Film américain, néo-zélandais.
Genre : Fantastique, Aventure
Durée : 3h.
3 heures de profond ennui.
J'entends déjà au loin vociférer les fans du gros singe : et bien quoi ? Un remake minable sans surprise d'un film déjà moyen à l'origine - fût-il culte soit-disant - fait de mélanges mélodramatiques plus mièvres les uns que les autres, de scènes d'action ou plutôt d'inaction numérisée d'une lenteur navrante, ponctué ça et là de plans fouillis censés symboliser la peur qu'on est supposé avoir.
Un film long, très long, médiocre techniquement et dont le scénario éculé n'a d'égal que l'absence totale de créativité propre à un remake.
Je ne paye heureusement pas les entrées de cinéma, sans quoi je crierais - " Remboursez !"
Allez tiens, j'étais sûrement de bonne humeur le jour où j'ai choisi mon nombre d'étoiles - en l'occurence de navets -, je corrige aujourd'hui mon excès de gentillesse à l'égard de ce pur produit marketing :
3 navets, voilà. Pas 4 ni 5 parce que l'actrice joue bien (c'est bien la seule) : comme quoi j'ai vraiment trop bon fond.
Année de production : 2005, Remake de King Kong ,Distribué par United International Pictures (UIP)
Mon appréciation :3 heures de profond ennui.
J'entends déjà au loin vociférer les fans du gros singe : et bien quoi ? Un remake minable sans surprise d'un film déjà moyen à l'origine - fût-il culte soit-disant - fait de mélanges mélodramatiques plus mièvres les uns que les autres, de scènes d'action ou plutôt d'inaction numérisée d'une lenteur navrante, ponctué ça et là de plans fouillis censés symboliser la peur qu'on est supposé avoir.
Un film long, très long, médiocre techniquement et dont le scénario éculé n'a d'égal que l'absence totale de créativité propre à un remake.
Je ne paye heureusement pas les entrées de cinéma, sans quoi je crierais - " Remboursez !"
Allez tiens, j'étais sûrement de bonne humeur le jour où j'ai choisi mon nombre d'étoiles - en l'occurence de navets -, je corrige aujourd'hui mon excès de gentillesse à l'égard de ce pur produit marketing :
3 navets, voilà. Pas 4 ni 5 parce que l'actrice joue bien (c'est bien la seule) : comme quoi j'ai vraiment trop bon fond.